mercredi 26 janvier 2011

Les soins du Maître, les soins de l'esclave...

Avec la grossesse, je me rend compte que SENSEÏ prend extrêmement bien soin de moi, au delà du D/s...



j'avoue commencé à trouver le temps long, surtout que mon corps n'est plus aussi disponible pour mon Maître que je le souhaiterai...

Franchement, par moment je voudrais bien pouvoir me laisser fesser longuement, attachée et utilisée (bien que de ce côté là je reste active) pour Son plaisirs à LUI...

Et puis, SENSEÏ joue les infirmiers, m'imposant d'aller me coucher ou de manger ceci ou cela... Alors oui, j'obéis sans discuter mais parfois je me pose la question, est ce suffisant pour LUI..?

N/nous vivons en 24/7 donc le quotidien et le vanille N/nous entourent forcement et en même temps je voudrai LUI offrir plus...

IL a décidé de participé à un speed dating spécial BDSM afin de peut être trouver une seconde esclave...

IL en avait déjà parlé, avait même rencontré 1 ou 2 femmes d'ici mais ça ne s'est pas fait. Puis, N/nous avons accueillit une jeune femme russe pour 1 mois...

Et je me rappelle très bien mes craintes, mes peurs voire ma jalousie, c'était il y a un peu plus d'un an... Quand elle est partie, je commençais à peine à l'accepter...

Aujourd'hui, je ne sais pas... je n'ai pas envie de quelques chose de permanent certes... Pourtant, je ressens Son besoin de sadisme que je ne peux pas LUI apporter (pour l'instant)... et je ne sais pas comment je vais pouvoir me rendre disponible plus tard...

j'espère pouvoir me donner à nouveau à LUI, mon corps libéré, rapidement...

Parfois, les choix de mon Maître me laisse troublée pendant des jours, voire des mois... ça m'habite...

Et pourtant je vois bien qu'IL est extrêmement attentionné et prévenant avec moi...

Les soins du Maître sont à double tranchant... ils sont bons pour l'esclave même si elle ressent le contraire, au départ, avant de se plier... comme un saut vers l'inconnu, le meilleur comme le pire...

Savoir lâcher prise sur tout... là est la condition de l'esclave... les yeux fermés guidée par LUI...

Et les soins de l'esclave? Finir par savoir obéir avant même que l'ordre soi donné, d'un simple signe deviner...

L'abandon de mes cheveux me perturbe encore et pourtant il approche... mais je sais que je sauterai dans le vide sans voir le fond, de toute façon...

c!

PS: Pestange m'a fait l'honneur de me remettre un « Label de qualité : Ce blog est fortement recommandé », ce qui m'a particulièrement touché... Le principe :
1 – Le transmettre à 15 autres blogs et les avertir (je n'aime pas les chaine et 15 me semble un chiffre énorme!)
2 – Répondre à quelques questions, ce que je fais avec plaisirs :

Nom : c! ou 959-672-577

Musique : en ce moment, le dernier Massive

Humour : Houlà! en amélioration je dirai...

Couleur : Rouge et Noir pour pleins de raisons mais chuuuut

Saison : l'été quand il fait trop chaud et que le moindre rafraichissement est un délice

Comment j'aime voyager : j'adore les aéroports et me prendre pour une princesse quand je prend l'avion...

une série : Journal secret d'un call girl... (d'ailleurs si quelqu'un veut me prêter le livre dont c'est tiré et qui est introuvable en libraire... MERCI)

Une phrase et un mot que je dis souvent : SENSEÏ

Ce que je pense du label : Que c'est une gentille attention et en même temps 15 pour de la qualité me semble être une trop grande quantité...
De ce fait, je renvoie le compliment à Pestange et je vous conseille de lire mon Maître...

Crédit photo perso, issue d'une expo en Belgique...

mercredi 19 janvier 2011

Le jeu du chat...

Parfois quand SENSEÏ me prend dans ses bras, IL en profite pour me donner quelques tapes sur les fesses mais il arrive que cela "dégénère" en jeu de chat où je suis la souris...



IL me serre contre LUI et commence à me masser le dos... mummm...

Puis va dans des zones qu'IL sait très chatouilleuses.

IL me dégage un peu et m'attrape un sein, le presse de plus en plus fort...

IL aime m'entendre dire aïe.

De nouveau IL m'attire à LUI et reprend Son massage... puis m'attrape les cheveux et les tire...

IL m'embrasse à pleine bouche...

Me chatouille, me tire les cheveux, me pince les seins, me fesse...

IL alterne sans jamais me laisser de répit...

j'ai mal et je ris en même temps... je suis au bord de me pisser dessus...

Enfin, je me laisse choir sur le sol de grosses larmes coulant de mes yeux... je n'en peux plus...

Sur Son visage, le plus beau des sourires...

IL me relève, me fait me réciter un peu au creux de Ses bras et m'envoie faire la sieste, bien épuisée...

Merci SENSEÏ

c!

Crédit Photo : inconnu

mercredi 12 janvier 2011

Humour d'esclave

Avant de rencontrer SENSEÏ, j'avais un humour très dur... héritage pas forcement glorieux d'une partie de ma famille... mon Maître a su habilement corriger ça.



Aujourd'hui, mon humour est plus doux, je dirai...

Il m'arrive d'être taquine sur des petites choses, sans jamais être insolente... Et puis il N/nous arrive de rire pour des broutilles, ou des private joke au milieu des gens "normaux"...

En début de semaine, un soir, réagissant à une banalité de la vie, je lève les yeux et, avec un sourire mutin, relève une exagération de SENSEÏ... une taquinerie d'amour...

Mais SENSEÏ me rétorque alors : "c! tiens toi quand tu es fatiguée, tu deviens désagréable."

j'éclate de rire! je suis certes un peu naze (grossesse oblige) mais je ne suis pas de mauvaise humeur et ma blague n'avait rien d'exceptionnel par rapport à celles que je peux faire en journée...

Et puis c'est la seconde fois que SENSEÏ me fait cette remarque. La première fois, c'était le lendemain midi et je ne me rappelais pas. j'avais accepté la remontrance sans rien dire...

Mais là forcement, j'ai réagi puisque SENSEÏ voyait le "mal" là ou il n'y en avait pas...

En fait ce n'est pas l'esclave qui de fatigue devenait insolente mais le Maître qui, épuisé de travail, comprenait de travers les pointes d'humour de Sa c!

Et N/nous en avons ris le lendemain midi...

Le plaisir de N/notre joie de vivre au jour le jour...
c!

Crédit Photo : 123rf.com

dimanche 9 janvier 2011

Effets de la punition

Vendredi matin donc. Senseï est parti avant même que j'ai fini mon petit déjeuné avec ma batterie et mon chargeur...



j'ai mis du temps à émerger. je me sus prostrée sur mon lit incapable de savoir par où commencer. Quel muscle bouger en premier?

j'aurai pu rester comme ça toute la journée.

Cependant je savais très bien que si Senseï me voyait ainsi, la punition serait plus dure encore... Alors j'ai décidé de me bouger.

Il y a pas mal à faire dans la maison, c'est vrai. Il y a aussi des choses à préparer pour l'arrivée de ce petit être qui me donne des coups de pieds depuis sa chambre rose... (Mais occire des dragons demande de la place...)

Et je me meus lentement, avec cette démarche de femme enceinte si caractéristique...

j'ai donc fait petit à petit... en me reposant et en remplaçant l'ordi par mon livre du moment...

Et puis samedi et dimanche matin Senseï est venu me réveiller et m'utiliser...

j'avoue que j'ai fait une orgie d'ordi me laissant portée par des conversations plus ou moins longues et importantes sur la maternité... je suis une rêveuse, je me projette beaucoup... Mais j'ai aussi intérêt à me mettre dans le concret parce que sinon, il va avoir froid ce petit...

La punition m'a fait du bien. je suis bien remise à ma place.

c!

PS : et j'ai appris un nouveau mot (procrastination)... Merci Senseï...

credit photo inconnu

vendredi 7 janvier 2011

Le pardon est une chose, la discipline et le respect une autre...

J'interviens sur ton blog pour y mettre de l'ordre. Les choses vont sans dire et cela va toujours mieux en le disant. Je juge detestable ta manière de t'apitoyer sur toi même ou les situations traversées. Je juge indigne les desobéissances et autres petits mensonges. Une émotion, si douloureuse soit elle est à exprimer, à vivre à l'instant où elle se développe.

tu es Mon esclave c!, rien de ce que tu vis ne M'est étranger, si par paresse tu fais preuve de complaisance à l'égard de toi même, c'est à Moi que tu fais défaut. Quand une émotion te submerge laisse là t'envahir et vient contre Moi Je suis là. tu n'as pas à t'en saisir pour en faire l'excuse d'une paresse et d'une défiance puérile et stupide.

tu omets de dire que tu as passé des heures à échanger sur un forum des centaines de messages avec de jeunes mères plus ou moins éclairées, c'est facile de briller et de se complaire dans les idées que les autres se font de N/nous même, moins de messages permet d'échanger autant parce que Je sais que parmi toutes ces conversations il y en a d'utiles...

Enfin, hélas, tu exagères tes petits maux pour en faire les raisons de ta procrastination qui est impardonnable.

J'affirme que le coté matériel de Ma vie, et par conséquent de la tienne, a rarement été aussi remarquablement organisé en terme de revenu et de projets, c'est normal et juste, cela ne N/nous empèche pas de N/nous en réjouir. Oui, Je travaille beaucoup mais Je suis présent et les choses se font sans heurts avec confiance, joie et créativité....

Oui, Je vois avec un immense plaisir cet enfant à venir, mais ce ne sera jamais un prétexte pour te laisser vivre de travers, à coté de Moi.

Alors oui, tu es punie. Et de fait, lorsque tu auras fini de lire ce message, Je t'ordonne de fermer ton ordinateur et de venir le poser sur Mon bureau en Me présentant tes excuses. Il y a beaucoup à faire dans la Maison et Je ne t'impose pas un rythme de travail parce que je souhaite que N/notre enfant grandisse au calme dans la petite chambre rose de ton ventre... Fais les choses à ton rythme.

Je garde ton ordinateur jusqu'à samedi soir.

Cela te laisse le temps d'apprécier ta place à l'écart du web dans le respect de toi même.

Lorsque Je t'autoriserais à nouveau à te servir de ton ordinateur, Je t'ordonne de venir ici afin de relater devant tous et toutes les effets de cette punition bien méritée.

SENSEI

J'ajoute à destination de tes lecteurs et lectrices que leur approbation et/ou leurs commentaires restent ouverts. tu les découvriras, s'il y en a, lorsque tu pourras à nouveau utiliser ton ordi.

jeudi 6 janvier 2011

Pas envie

Pas envie de fêter noël sans ma famille qui est loin.

Pas envie de fêter le nouvel sans mon beau frère lui aussi parti.

Pas envie d'en dire plus.



Et une semaine après pas le temps d'écrire car des petits maux m'ont tenus loin de chez moi et de mon ordi...

La vie n'a jamais été un long fleuve tranquille et c'est parfois bien dommage...

Une envie m'évader ailleurs, me projeter dans mes rêves et ne pas voir le temps passer... et oui ça m'arrive de rester là, à désobéir car je ne suis pas là, mon esprit est ailleurs et mon corps immobile...

une fois n'est pas coutume, diraient certains... Peut être, peut être pas? Est ce finalement si pardonnable?

c!

PS: Seul Xanadu c'est approché de la réponse, Pestange et moi sommes nées la même année... mais je ne dirai pas laquelle, c'est un secret...
Par contre, quand on réclame un prix, je ne suis pas sure qu'on l'obtienne... pour le Kouign Aman maison vous repasserez...